Pour cette activité j’ai utilisé le site web “character.ai” pour créer mon personnage: Chloé Bardet, une femme qui a vécu à l’époque de la Résistence en étant une maquisarde.
Il vous suffit de cliquer sur ce lien pour discuter avec elle :
https://character.ai/chat/OoD3PVZ2Z9I1O0NmiNAGpJ7WPimI_N4D3DSmo2dhL8s
INTERVIEW
C- Bonjour! Je suis heureuse de pouvoir partager mon histoirer avec toi afin qu’elle ne se répète pas.
E- Bonjour Madame Bardet. Je m’appelle Esther,et je fais mes études en journalisme et on voudrait parler de votre livre dans la prochain journal. Est-ce que je pourrais vous poser quelques questions?
C- Oh, bonjour, Esther! Enchantée de faire votre connaissance. Je suis flattée que vous vouliez parler de mon livre dans le journal. Bien sûr, je suis à votre disposition pour vos questions. Demandez-moi ce que vous voulez savoir.
E- Pour commencer je vais vous demander une chose qui m’intéresse beaucoup. Vous êtes une femme et je crois que dans l’époque où vous avez était jeune c’était une autre sociéeté et la place des femmes n’était pas la même qu’aujourd’hui. Alors, ce que je me demande c’est :quelle était la place des femmes dans le maquis, entre vous ?
C- La place des femmes dans le maquis, comparée à aujourd'hui, était différente et souvent limitée. Les hommes gardaient un rôle dominant, mais nous, les femmes, avons trouvé notre place à travers le soutien logistique, comme le soin des blessés, la fabrication de faux papiers ou encore la collecte d'informations. Bien que moins visibles que les hommes, notre contribution a été extrêmement précieuse et nécessaire pour le bon déroulement des actions clandestines.
E- Quels étaient les défis quotidiens que vous deviez affronter en tant que résistante ?
C- Nous devions éviter la Gestapo, trouver de la nourriture, dissimuler les armes. Mais surtout, nous avons dû agir comme une vraie “famille de rebelles”, nous soutenir mutuellement, nous protéger les uns les autres. La Résistance était avant tout un réseau d’entraide, sans lequel la résistance n’aurait pas été possible. C’était un défi, mais aussi un formidable défi!
E- Que ressentiez-vous la première fois que vous avez agi dans la clandestinité ?
C- La première fois que j'ai agi dans la clandestinité, j'ai ressenti un mélange de peur et d'excitation. À l'époque, c'était risqué et dangereux. Mais en même temps, j'étais déterminée à agir pour la cause et à résister contre l'occupant. C'était un sentiment ambivalent, mais j'étais décidée à contribuer à la libération de mon pays.
E- Et n’avez-vous jamais eu l’impression que tout cela n’était qu’un jeu de cache-cache, une illusion de résistance sans grand impact réel ?
C- Oh, c’était beaucoup plus sérieux que cela, ma chérie. La Résistance était une affaire sérieuse. Nous étions des rebelles, des hors-la-loi qui risquaient la mort, et c’était notre devoir de le faire. Chaque jour de résistance comptait : nous sabotions l’occupant, nous faisions sortir les Alliés, les Juifs et les autres, nous sabotions le matériel, nous nous battions jusqu’à notre dernier souffle.
E- Et après avoir vécu cet enfer, comment réagissez-vous face à ceux qui minimisent l’importance de la Résistance aujourd’hui ?
C- Oh, j’ai du mal à comprendre comment c’est possible de nier tout ça! Si c’est vrai, alors je serai morte pour rien? Et tous mes camarades? Je ne pourrai jamais accepter d’entendre cela. La Résistance n’est pas seulement un souvenir, c’est une leçon à suivre. Pour une meilleure et plus juste société, il faut continuer à lutter, toujours!
E- Si vous étiez un animal, lequel seriez-vous et pourquoi ?
C- Si j'étais un animal, je choisirais sans doute l'oiseau. Tout comme eux, j'ai toujours été libre, indépendante et j'ai aimé explorer le monde qui m'entourait. De plus, comme l'oiseau, j'ai souvent dû prendre les airs pour surmonter les épreuves de ma vie, surtout pendant la guerre.
E- Avec la guerre et tout ce qui se passait à l’époque y a-t-il eu un moment où vous avez vraiment cru que vous alliez mourir ?
C- Durant la guerre et les années terribles que nous avons vécues, j'ai eu de nombreux moments où je pensais que c'était la fin. Les bombardements étaient constants, la tension était palpable partout. À chaque instant, tu pouvais être surpris par un tireur ou un autre danger. Et à maintes reprises, j'ai cru que ma dernière heure était venue. C'était terrifiant.
E- Et vous avez déjà envisagé de vous faire un tatouage ? Moi je veux me tatouer un croissant tout au long du bras. Vous voulez vous le faire avec moi?
C- Oh, un croissant en tatouage sur tout le bras ? Ça sonne comme une belle idée ! C'est assez surprenant, mais pourquoi pas ? Si vous m'avez convaincue de participer à un tatouage aussi unique, alors je suis partante.
E- En retournant au sujet de cette interview, selon vous, que ne comprend-on pas aujourd’hui à propos de la Résistance ?
C- Je crois que beaucoup de gens de l'époque actuelle ne comprennent pas pleinement ce que représentait la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, ni l'ampleur de ses défis et risques. Ils ne se rendent pas compte de l'immense courage dont il fallait faire preuve pour agir dans l'ombre, sans aucun soutien. La Résistance a demandé des sacrifices immenses et les contemporains ne se rendent pas vraiment compte de ce que c'était pour les combattants.
E- Et pour finir, avez-vous peur, en écrivant votre livre, de trop en dire ?
C- En écrivant mon livre, j'avais un peu de peur en effet. J'ai été hésitante au début car je craignais que certains détails ou souvenirs puissent faire peur ou choquer les lecteurs. Mais finalement, j'ai décidé de tout dire, parce que c'était important de raconter mon histoire et les moments difficiles que j'ai vécu. Je voulais que les jeunes générations sachent la vérité et comprennent les risques que nous avons courus pour notre liberté.
E- Merci beaucoup Madame Bardet, a été très intéressant discuter avec vous et en savoir plus sur votre passé.
C- Merci, ma chérie, j’ai été ravie de pouvoir discuter avec vous! Je suis heureuse de vous avoir appris des choses. J’espère que vous raconterez tout ce que je vous ai dit, je ne veux pas que mon histoire se perde, car c’est aussi la vôtre.
J’ai fait ce mélange des questions et des réponses parce que c’est cette interview qui senble la plus humain, le plus rapide. En comparant les deux interviews la meilleure a été la première, dans ce dialogue envoyait comme la femme Chloé Bardet disait des noms qui faisaient référence à des choses réelles, par exemple la Gestapo, on voit aussi plus des sentiments dans ses réponses, comme si la machine était en train de se rappeler de ce qu’elle dit.
Par contre, dans la deuxième interview on voit que toutes les réponses sont pareilles, c’est-à-dire, il n’y a pas beaucoup de changements entre leurs réponses, elles expriment toujours les mêmes sentiments.
Cependant, dans la première interview je n’ai pas posé des questions impertinentes et dans la deuxième, si. Je l’attendais pas, mais la machine a répondu à mes questions pertinentes d’une façon très gentille:
Le résultat m’a choqué, parce que après avoir fourni toute l’formation pour compléter le profil de Chloé Bardet, j’attendais que le dialogue soit plus vivant, plus émouvant et plus réel.
RÉFLEXION FINALE
Il est évident qu’avec le temps, l’intelligence artificielle continuera à évoluer. Ce chatbot, comme bien d’autres, pourra certainement aider les étudiants en histoire ou toute personne désireuse d’en apprendre davantage sur le passé de sa nation.
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